Le pasteur nigérian Joseph Apata Enoch a déclenché une vive controverse avec ses récentes déclarations sur les relations conjugales, publiées sur Facebook le mardi 30 juillet 2024. Connu pour ses opinions souvent controversées, Enoch a affirmé que les femmes devraient soutenir leurs maris s’ils choisissent d’avoir des maîtresses, à condition que ces derniers prennent soin de la maison et construisent des maisons pour leurs épouses.
Enoch a exprimé son point de vue sans ambages : « Le gouvernement commence par notre maison. En tant qu’épouse, si votre mari prend bien soin de la maison, vous a construit une maison, donnez-lui un soutien pour avoir des maîtresses, c’est un bon gouvernement. Aucun homme ne peut survivre sans maîtresse, pas même le père Abraham, c’est la vérité. »
Ces propos ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant une multitude de réactions, tantôt indignées, tantôt en accord avec ses vues controversées.
Le pasteur Enoch a également abordé la question de la mauvaise gouvernance dans les relations amoureuses, conseillant aux hommes de mettre fin à cette mauvaise gouvernance en laissant les femmes tranquilles s’ils ne veulent pas les épouser. Selon lui, la responsabilité de créer un foyer harmonieux repose en grande partie sur les épaules des hommes.
Il a déclaré : « Mettez fin au mauvais gouvernement. Si vous ne voulez pas l’épouser, laissez-la pour celui qui l’épousera. Je l’aime et je l’épouse comme ma deuxième femme. Mettre fin à la mauvaise gouvernance commence par vous. Si vous ne voulez pas l’épouser, laissez-la tranquille. »
En partageant une expérience personnelle, Enoch a révélé : « Ma préférée est ma deuxième femme. Ils m’ont emmené au poste de police, j’ai dit à la police que je ne suis pas un mauvais gouvernement. Si je l’aime, je dois l’épouser et elle doit accoucher pour moi. Vous dites que vous aimez quelqu’un et vous ne pouvez pas l’épouser, vous êtes un mauvais gouvernement. »
Les déclarations de Joseph Apata Enoch ont suscité une vive polémique. Certains ont applaudi sa franchise et son approche directe des relations, tandis que d’autres ont fermement condamné ses propos, les qualifiant de sexistes et de rétrogrades.
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